mardi 23 octobre 2007

Futur

Une des caracteristiques propre à l'homme est de voir sur le long terme. Cela a de tres tres grandes consequances.
Dabord l'homme est sencé accepter un effort ou une soufrance pour quelque chose de non immediat. Alors que l'animal chasse quand il a faim, l'homme accepte de travailler pour etre payé à la fin du mois. Cette evolution lui permet de pouvoir construire sa vie sur plusieurs années et donc de faire des choses sur le long terme largement superieur aux annimaux. L'homme a invnté l'agriculture et l'elevage. Puis la société.
Puis ca a eu des effets beaucoup plus etranges. Les hommes ont pris conscience de leur morts. Chaque homme sait qu'un jour il ne sera plus. Et cela fait peur à l'homme. L'homme a donc developpé deux stgrategies pour parer à cette peur. La premiere est la plus noble et la plus proche de ce qui pourrait etre appelé une evolution: L'homme devient idealiste, il pense au futur encore plus loin, et espere laisser une trace sur terre. Cedtte trace peut prendre plusieurs formes. Mais dans la globalité, cette trace est benefique pour les autre humains. L'autre reaction a été inverse. Les hommes se sont dit que si ils devaient mourir un jour ils devaient au moins vivre le maximum de bonheur dans leur vie. Ils predent donc une aprtie de leur humanité puisqu'ils se remetent à vivre au jour le jour, sans penser à la société et aux autre. Puis d'autre encore ont fait encore plus simple, ils ont carrement oublié de regarder le futur. Ils vivent dans des reves figés qu'ils ne cherchent meme plus à atteindre, et quand par erreur ils pensent au lendemain ils l'esperent naivement meilleur sans rien faire pour le changer.
Mais les pires sont en fait ceux qui regardent reelement le futur, qui souaitent reelement le modifier, mais qui n'ont aucun but "humanitaire". En verité, peut etre que dans la categorie de ceux qui veulent "laisser une trace", ils sont majoritaire. Creer une société, la rendre la plus puissante possible sans chercher à comprendre les consequances et pouvoir la leguer avant de mourir. Amener son nom dans l'histoire quel qu'en soit le prix...
L'homme, qui a le pouvoir de voir sur le long terme ne semble utiliser cette capacité juste pour agir à moyen terme.
L'etre humain est il bloqué dans cet etat intermediaire qui en fait un animal technologique et plus ou moins social?
Ou a t'on encore une chance d'evoluer?

lundi 22 octobre 2007

La remise en question

La remise en question est une chose dur à faire pour la plupart des etres humains car cela demande une capacité d'autocritique.
En fait, la remise en question fait soufrir car si on la pousse jusqu'au bout elle nous montre nos erreurs, nos defauts, nos imperfections, et que cela choque violement notre ego. En plus, la remise en question intervient sur quelque chose de normalement aquis, donc cela ne montre que nos cotés negatifs, sans meme arriver à nous mettre en valeur à vos propres yeux. C'est vrai que vu comme ca, la remise en question ne fait pas envie.
Mais elle est importante. Elle permet d'evoluer. Si l'on ne se remet jamais en question, on repete sans cesse les meme erreurs. Plus on se sent inteligent, moins l'on a envie de se remetre en question. Pourtant personne n'atteint la perfection, et meme les meilleurs dovient se remetre en questions pour ne pas devenir les pires. Bien sur il est beaucoup plus facile de se remetre en question quand on a des modeles, mais à partir d'un certain moment on se sent aussi grand voir plus grand que notre entourage, et à partir de la on se demande à quoi cela sert de se remtre en question. Mais il faut pourtant tout les jours verifier que c'est bien nous et non les autre qui ont raison et non le contraire. Et si chaque jour on verifie cela, il faut continuer sur notre voie sans hesiter.
Car la remise en question doit cautioner les actes. Apres s'etre remis en question, il est important de ne plus douter. Car à chaque pensée doit correspondre un acte ( voir l'article nos pensées et nos actes).
Par exemple avant d'ecrire un article, je remet l'utilité du blog en question : je verifie qu'il ne repond pas qu'a un desir egoiste de me mettre en avant, ou que je n'ecrit pas dans le vent, et je finnit toujours par me dire que si jamais une seule personne me lit et que ce l'aide juste un tout petit peu à faire son chemin, meme si elle ne laisse aucun commentaire et ne m'en parle pas, et meme si je ne connais pas cette personne, alors mon article aurra eu un impact tellement grand qu'il aurra vraiment vallu le coup que je l'ecrive.
Donc apres la remise en question, j'agit, je me met devans mon ordinateur et je tappe l'article.
Avant d'agir il est toujours important de penser, de voir si l'acte est utile ou nuisible, mais apres avoir pensé il est toujours important d'agir.
Toujours!

lundi 15 octobre 2007

Les humains et leurs actions sur la terre...

L'homme, si l'on le considere comme une espece animal sur terre, est en tout cas une espece bien particuliere, entre autre au niveau de la rapidité avec laquelle il modifie son environement...
L'homme a besoin d'energie, comme tout les autre annimaux, mais il en a besoin de beaucoup plus. Alors qu'un animal bois et mange, et se dore au soleil, l'homme doit utiliser de l'energie pour toute ses inventions.
Alors il cherche des sources de nouvelles energies.
Maintenant qu'il a bien tiré sur l'energie de la planete, pompant l'energie contre la santé de sa planete, il cherche (parfois) des "energies renouvelables". Le but d'une energie renouvelable, c'est d'utiliser une energie qui existe mais qui se renouvelle toute seule et dont l'utilisation est donc sencé ne pas abimer notre planete.
Mais, en realité on se rend compte qu'aucune energie n'est vraiment renouvelable (a part celle du soleil, qui n'apartient pas vraiment à notre planete).
Par exemple, ils voulaient remplacer les carburants à base de petrole par du carburant à base de plante. Plantes que l'on peut faire pousser facilement, donc "renouveler". Mais la culture de ces vegetaux entrainent plusieurs problemes : Dabord, ils boivent de l'eau. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, l'eau n'est pas completement "renouvelable". On aurra beau dire que l'eau fait parti d'un cycle, l'eau, à un instant donné ne peut servir qu'a une chose à la fois, donc, si elle sert à nourir des plantes qui iront dans nos moteurs, elle ne peut servir en afrique la ou il en manque. Ces plantes demandent aussi de la place cultivable (donc leur creations créent la faim). Et cela pose aussi un probleme de l'erosion des sols (probleme grave, facteur d'innondations, et de la cultivabilité des sols). Les sols une fois victime de l'érosion, n'est plus cultivable, donc il n'est pas "renouvelable". En un mot, cette energie n'est aps du tout renouvelable et coute meme cher en energie.
Une autre idée de l'energie renouvelable est l'eolienne. Une eolienne transforme l'energie du vent en energie electrique. Mais, est ce que l'energie du vent est reelement renouvelable? A priori rien ne sera visible dans les 10.000 prochaines années, mais à plus long terme, si on essaye de remplacer nos usines atomiques par des eolienes? Est il possible de ralentir le vent?
Apres tout ces tristes constats, il reste la question de savoir ce que l'on va faire. A voir que nos energies ne sont pas completement renouvelables, comment va t'on s'en sortir?
Certaines personnes disent que tout les annimaux consomment de l'energie : C'est le principe de la chaine alimentaire. Et ils precisent que cette chaine a evolué avec le temps, donc l'homme moderne ne fait que lui faire subir une nouvelle evolution. Cela leur permet d'excuser le rechaufement climatique, la disparition des especes animales...
D'autre disent que seuls ceux qui ont la climatisations disent que le rechaufement est acceptable, et que le rechaufement est un phenomene egoiste des pays qui consomment ces energies par rapport à ceux qui ne les consomment pas.
Et puis les plus pessimistes (ou les plus realistes selon le point de vue) rappelent que meme si la planete doit evoluer et qu'il ne sert à rien de la figer, ca sera la premiere fois qu'elle subit des changements aussi violents, et qu'on ne peut pas prevoir les consequances que ca aura pour nous.
Que conclure de tout cela?
Que notre planete va de tout de facon subir un changement grave, et qu'on est en train d'utiliser des energies dont on ne disposera plus à un moment ou à un autre.
Tout les humains ny survivront pas (en particulier dans les pays les plus pauvres ou ils n'aurront pas les moyens de s'adapter). Apres, on risque de faire un retour arriere technoilogique suite au manque d'energie.
Apres, l'homme se battra pour recuperer les terres cultivables et l'eau. (Ce genre de guerre existe deja dans certains pays, on en peux pas savoir dans combien de temps cela va se generaliser).
Et si il n'arrive apres ca toujours pas à comprendre l'interet de limiter sa consomation, peut etre qu'il n'aurra plus qu'a esperer trouver d'autre ressources, d'autre "terres" dans l'espace.
Dans combien d'années tout cela arrivera? On ne peut le savoir. Mais vu le temps que mettent nos actions à faire effet, on peut penser que lorsque les problemes tres graves cités au dessus vont commencer à avoir lieu, il sera trop tard pour agir, et meme si ils estiment qu'il reste une chance, je ne suis pas sur que les hommes cherchent à l'exploiter.

lundi 1 octobre 2007

Pragmatique ou Idealiste?

Je vais commencer cet article par une petite histoire sorti tout droit des limbes de mon esprit :
"Il était une fois un pays ou tout les habitants aiment leurs souverains, et ou le souverain aimait ses habitants. Et chaque fois que les habitants étaient triste, le souverain le devenait aussi, et à chaque fois que le souverai était triste, les habitants le devenaient aussi. Des que l'un ou les autre deveaient triste, la reaction en chaine prennait tellement de proportions que l'on entendait des pleurs et des la mentations jusque dans les payes voisins.
Ce pays n'était pas riche, ni vraiment pauvre. Mais le souverain avait des choses importantes à faire pour son royaume. Le royaume devait payer ses dettes, et lever une armée pour aller aider son voisin et allié qui était en guerre. En fait, le souverain avait souvent des decisions à prendre pour le royaume, et comme il était fier de son royaume il voulait que celui ci garde son honneur. Mais le peuple connut une famine dut aux impots et vit ses enfants partir à la guerre, et plein d'autre choses. Et à chaque fois le peuple pleurait. Et cela faisait pleurer le souverain. Et cela faisait encore plus pleurer les gens de faire pleurer leurs souverains. Et cela faisait encore plus plereur le souverain de voir qu'il était le seul responsable du malheur de son peuple. Un jour, le souverain décida de ne pas payer une dette, et menaca le petit pays à qui il devait de l'argent de lui envoyer son armée si jamais il protestait. Il fit cela pour son peuple. Mais dans tout le royaume, on entendit les lamentations du roi, qui pleurait jous et nuit, hurlait de douleur et de rage d'avoir agit de la sorte, aussi "lachement". Et ses cris et pleurs étaient tellement saisissant qu'a ce moment la tout le peuple pleura de voir leur souverain si triste. Et le souverain se rendit compte que son acte horrible n'empechait meme pas son peuple de pleurer, et cela le rendait encore plus triste. Et le peuple compris que c'était eux les reponsable de tout le malheur du souverain et pleura encore plus. Et le souverain compris qu'une fois de plus, il était responsable des pleurs du peuple et continua à se lamenter. Puis d'autre decision à prendre arriverent..."
...
Je doute qu'un royaume comme cela ai put exister un jour. Le peuple ne s'interesse jamlais aux raisons qui peut pousser ses dirigants à prelever des impots, enlever leurs enfants et se moque des malheurs de leurs dirigants.
Mais l'on peut aussi faire la comparaison avec un corps humain. L'ame choisit et le corps soufre. Mais l'ame peut aussi soufrir. Et le corps peut aussi soufrir des malheur de l'ame.
Une personne doit elle agir de maniere idealiste, se faire exclure, prendre des coups, soufrir physiquement et mentalement de son engagement et sa difference, ou au contraire s'integrer, jouer au mouton, agir de maniere pas toujours en accord avec sa morale et avoir pour seule soufrance celle de ne pas etre ce qu'elle devrait etre et faire ce qu'elle devrait faire?
Si le corps comprend l'ame et que l'ame comprend le corps, chaqun soufrir a avec l'autre dans la plus grande sympathie.
Mais au moins le coté idealiste permet une fierté de nos actes dans le present et le futur alors que la satisfaction aparente ne donne qu'une sensation de bien etre pendant un instant.
Pour reprendre la comparaison avec un pays, imaginons la france en 1939. L'Allemange attaque la pologne. L'Allemagne a des troupes, des armes, des tanks, des munitions, la Pologne a des cheveaux et quelques cavaliers. Quoi que l'on fasse la Pologne va se faire massacrer. Alors, doit on attaquer? Doit on envoyer des centaines de milliers de gens à la mort juste pour dire qu'on a pas rien fait. Sacrifier une generation d'innocent pour que l'etat puisse dire "On a tenté quelque chose."?
Non?
Pourtant il aurrait peut etre fallu. Il y aurrait eu des morts. Cela aurrait été affreux. On aurrait eu une deuxieme guerre des tranchés. Mais au fond, d'autre atrocités pires encore aurraient été évités. On n'aurrait pas eu à livrer des juifs. Agir est dur et fait soufrir, mais il en faut pas partir dans l'optique que fatalement ca va etre QUE affreux pour nous et que ca nous condamne à vivre malhereux.
Il parait que l'imbecile est heureux tandis que le sage souffre car sa connaissance lui montre son impuissance face au monde, et surtout la puissance qu'il possede et qu'il n'a pas exploité pour le rendre meilleur. Moi je pense que le sage est le seul qui peut reussir à vivre heureux, vraiment heureux. Car l'imbecile, le simple, se contente de rien et ne saurrait reconnaitre un vrai bonheur si un jour il le croise. Tandis que le sage pour atteindre le bonheur doit se battre, mais lorsqu'il l'atteint, c'est un bonheur profond qu'il trouve. Alors qu'il agisse de maniere idealiste jusqu'au bout et il trouvera le vrai bonheur.
Apres, le probleme est de savoir ou est l'idealisme. je vais une fois de plus utiliser un paralelle.
Prennons l'exemple du siege de Calais. Les Anglais avaient assiégé la ville depuis 11 mois, mais les Calaisiens avaient jusque la reussi à resister alors qu'ils étaient en nombre largement inferieur. Mais n'ayant plus de nouriture, ils devaient se rendre. Le blocage de tous les passages menant à Calais par les Anglais empêchant le roi de France d’intervenir, Jean de Vienne, pressé par la population de Calais assiégée depuis onze mois, demanda alors à parlementer avec le roi anglais sur la reddition de Calais à condition d’épargner la population et la garnison. Furieux de la résistance de Calais, Édouard III voulait en massacrer la population, mais il accepta néanmoins, aux termes de cette négociation, de l’épargner à la condition que six notables viennent à lui, tête et pieds nus, avec une corde autour du cou pour être pendus.
Que faire en tant que chef de Calais? Qu'est ce qui ets idealiste? Resister ou livrer les six notables?
Livrer les six notable est une preuve de lacheté, car on est pret à sacrifier six personne pour sa tranquilité personel alors que l'on pourrait resister...
Mais ne pas livrer les bourgeois est mechant envers la population. Etre idealiste ne dois pas vouloir dire etre fanatique. Il faut aussi parfois savoir ademtre certaines choses. Parfois etre pragmatique et ravaler son orgeuil est aussi etre idealiste.
Il est deja dur de regler ses conflits internes en soi, et ca doit etre encore plus dur lorsque l'on est à la tete d'un etat. Mais je n'ai pas l'impression qu'aucun dirigant se pose ce genre de questions.
Il est dur de se poser ces questions, de savoir comment agir, mais sans chercher l'exclusion et le fanatisme, il faut admettre qu'etre idealiste sans exces tout en agissant de maniere pragmatique pour nos idées est la seule voie vers le vrai bonheur et permet d'eviter les regrets eternels.

mercredi 19 septembre 2007

Les failles du systeme (causes et profiteurs)

Recement je me suis posé la question de savoir à qui profityait les failles du systeme capitaliste actuel :
Apres la razia que fait la droite aux diverses elections europeenes, il faut se poser la questiuon de savoir pouruqoi les gebns votent pour eux...
"travailler polus pour gagner plus" : Certe, mais ... gagner plus pour quoi?
Plus de confort, une voiture plus belle, (les machos penseront aussi "une femme plus belle), une maison plus grande...
Bref, des tonnes de trucs diont la necessité est douteuse. Alors certains diront que pour eux c'est important d'avoir une belle vpoiture, une grande villa sur la cote d'azur, et une residence secondaire en corse.
Mais, est ce vraiment plus important que d'avoir du temps à passer avec ses enfants?
Donc, tout cela a profité à la "société de consomation" :
Les gens vendent plus de voitures, plus d'ordinateur, plus de villas, et gagnent plus de sous avec lesquels ils acheteront plus d'ordinateur, plus de cigarettes...
Bref, meme si ils en ont l'impression, ca leur en profite pas des masses... Ils ont juste plus d'argent...Qu'ils ne peuvent que reinvestir immediatement dans le systeme.
Maintenant il faut se poser la question de savoir pourquoi les gens cautionnent ce systeme (et ils le font puisqu'ils preferent travailler plus pour gagner plus...)
Le modele de reve de cette société qui pousse tout les gens à y haderer est sans doute une vision donné par la télé. Bachelor, Urgence... donnent une nouvelle vision des heros : ce ne sont plus des gens courageux, mais des gens riches, dont la richesse achete le coeur des femmes. Puis le television permet de faire passer le message pur de la consomation à travers la publicité : Le but d'une publicité n'est aps de nous presenter simplement un produit mais de nous faire croire que nosu en avons besoin (et si pôssible de fgaire passer le message inconscient que le produit va nous rendre "mieu" en le faisant presenter par des canons de la beauté (ou de la richesse) actuel.
Le but de l'economie moderne n'est plus de repodnre au besoin du consommateur mais de creer chez lui le besoin.
Nous voila arrivé au bout de la chaine. Il suffit de creer un besoin au consommateur pour que celui ci veuille à tout prix ce prdouit de consomation, se mette à sacrifier sa famille pour ce produit, et vote capitaliste. Le monde capitaliste arrive donc à creer un bopnheur artificiel que les gens preferent au bonheur naturel.
Nous arrivons maintenant, apres avoir soulevé des choses plus ou moins evidentes, à la question crutiale : comment luter contre cela, dabord pour nous meme, puis pour les autre.
Pour nous meme, c'est assez simple : Il suffit de ne pas subir la télé mais de choisir ce que l'on regarde. De ne pas rever de chose innacessible ou d'un fantasme formaté, mais de reflechir à la vrai definition du bonheur.
Tant que nos actes proviendront d'une reflexion (que ce soit nos votes, notre consomation, nos choix dans notre travail...) on luttera contre le capitalisme moderne à petiite echelle, se protegant en bonne partie de ces vices.
Si nous voulons proteger les autre, il faut leur ouvreir les yeux, leur montrer que meme dans un systeme comme le notre, le bonheur peut provenir d'autre chose que l'argent.
Ce n'est pas parce que nous somme dans un monde que les humains pourissent de jours en jours sans en tirer grand chose qu'il n'existe pas d'alternative.

lundi 3 septembre 2007

Est-ce grave?

Est-ce grave?
Hier, dans le tram, j'ai vu une petite scène qui m'a rappelé une question qui me revient de temps en temps :
Un homme, de type indien, à moitié rongé par l'alcool et le tabac, comptant les sous qui lui restaient (des pièces jaunes et rouges), qui regardait sans cesse la demi cigarette qui trainait au fond de sa poche, et s'endormais, assis sur une banquette, les pieds posés sur la banquette d'en face. Cette homme fait partie des gens que je met dans la catégorie des "fous". Ces gens (nombreux dans le tram), ont l'habitude de dire ce qu'ils pensent sans être freinés par la morale, les habitudes, ou les conséquences de leurs paroles, et d'avoir des avis très forts et complètement arrêtés, ce qui est très pratique pour savoir ce qu'il peut se passer dans la tête de certaines personnes. Sur ce, arrive une femme, d'une soixantaine d'année, d'un genre plutôt riche, sans être vraiment de la catégorie bourgeoise, mais très intéressant, appartenant quand même à la catégorie des "fous" selon la définition d'au dessus. Elle se dirige vers l'homme, et pousse légèrement ses jambes, comme si elle voulait s'assoir en face de lui, sur la banquette sur laquelle il pose ses pieds. L'homme se réveille vaguement, enlève ses pieds en marmonant un "excusez moi" et commence à se rendormir. Mais la femme commence naïvement à lui faire la morale en lui expliquant qu'il ne faut pas mettre ses pieds sur le fauteuil d'en face. L'homme, tout aussi naïf, réponds "c'est pas grave, ça, Madame". Et la la femme réponds "Si c'est grave". Et elle commence à lui expliquer que plusieurs fois elle s'est relevée avec sa jupe sale à cause de gens comme lui. L'homme, toujours à la recherche du sommeil, lui réponds "Non, c'est pas grave, rien n'est grave dans la vie". Puis il semble chercher une autre position pour dormir et continue "Mourir c'est grave, c'est tout". La dame finit par s'en aller en s'amusant de la réplique de l'homme.
On arrive maintenant dans le vif du sujet : qu'est ce qui est grave?
On peut facilement prendre parti pour une de ces deux personnes. L'une pensant qu'avoir une robe sale est grave, l'autre pensant que seule la mort est grave. Mais ces deux personnes ont un grave problème : elles n'arrivent pas à se rendre compte que certaines choses sont plus importantes et plus graves que d'autre. Elles ne peuvent pas non plus comprendre que selon les vécu des gens, certaines choses soient plus graves pour certaines personnes que pour d'autre (voir article sur la compréhension d'autrui). Comment un homme qui a vécu 30 ans dans la rue peut comprendre qu'on trouve grave d'avoir un habit légèrement sale?
Je me souvient une fois en classe de première, une fille pleurait en contemplant une copie de français ou elle avait eu 9. C'était la première fois de l'année qu'elle n'avait pas la moyenne. Et elle n'arrivait pas à s'arrêter de pleurer. J'avais envie de lui dire que moi j'avais pas eu une seule note supérieure à 6 et que son 9 je le voulais bien. Et surtout je voulais lui dire que les résultats scolaires ne devaient pas faire pleurer. Puis je me suis rendu compte de sa chance : Si elle ne connaissait rien de plus grave dans sa vie qu'un 9 en français, elle avait beaucoup de chance...
En fait, ce qui est important c'est de relativiser : Il ne faut pas attendre de mourir pour verser ses larmes. Ce qui est grave, c'est de ne pas arriver à faire ce que l'on veut de sa vie, malgré notre volonté d'y arriver, ou de voir des choses irréversibles se produire. Mais il ne faut jamais penser qu'un détail ou que quelque chose que l'on peut changer est grave.

La vie est assez grave comme cela, il faut l'accepter, chercher à l'améliorer, mais ne pas tomber dans la lamentation perpétuelle.

samedi 4 août 2007

ne reporte pas à demain ce que tu peux faire après-demain

Il y a souvent des chose que l'on doit faire, que l'on sait qu'on doit faire, mais que l'on ne fait pas.
Il y a souvent deux raisons possibles à cela.
La première, c'est que dans nos ordres des priorités, on n'a pas le temps de le faire.
Par exemple, si je dois écrire un article pour le blog, mais qu'a coté, j'ai un ami qui déprime, j'abandonne provisoirement le projet d'aller ranger ma chambre pour aller parler avec cet ami.
la deuxième raison est le manque de volonté.
Par exemple, si j'ai eu une dure journée, je préfère me reposer/Aller jouer au Go/aller sur MSN à écrire un article.
Mais dans les deux cas, (surtout dans le deuxième), les journées n'évoluant pas, on ne fait jamais ce que l'on doit faire. Si j'attendais d'avoir une journée super reposante ou je n'ai rien à faire pour poster un article, il n'y en aurais jamais.
Il faut donc faire les choses des qu'on en a l'opportunité (tout en veillant bien à ne pas sacrifier quelque chose d'encore plus important) plutôt que de repousser ces choses chaque jour en espérant les faire le lendemain.